De Bleu, de blanc, de rouge

Les peintures françaises du XIXe siècle du MAH

Soirée inaugurale le 21 mars à 18h

exposition de format M

Le MAH présente avec De bleu, de blanc, de rouge. Les peintures françaises du XIXesiècle du MAH le résultat d’un programme de valorisation des peintures françaises du XIXesiècle (1800-1918), entrepris en 2020 en collaboration avec l’Université de Genève. Cette exposition met en lumière l'évolution du goût et des techniques artistiques de cette période riche en changements. Parmi les points forts figurent notamment des pièces telles que Mort de Socrate de François-Xavier Fabre et Vue d’Auvers avec champ de blé de Vincent van Gogh. Le parcours de l'exposition permet d'aborder tous les aspects d'un projet de valorisation patrimoniale, de la constitution de la collection aux questions de recherches en passant par l'étude du métier de peintre.

« Cette proposition a quelque chose de rafraîchissant »

Tribune de Genève

« Impliquant une centaine de personnes, l’aventure «De bleu, de blanc, de rouge» a permis de valoriser la peinture française du
XIXe siècle issue du Musée d’art et d’histoire de Genève. »

Le Courrier

« 'De bleu, de blanc, de rouge' est le fruit d'une collaboration avec l'Université de Genève, qui a mobilisé plus de 60 chercheurs et 40 étudiants pendant trois ans. »

Léman Bleu
Etang avec vue sur des maisons aux toits rouges

Alfred Sisley (Paris, 1839 - Moret-sur-Loing, 1899), Le Barrage du Loing à Saint-Mammès, 1885

Gros plan sur une œuvre

Le Barrage du Loing à Saint-Mammès

Le Barrage du Loing à Saint-Mammès est la première œuvre d’Alfred Sisley à intégrer la collection d’un musée suisse. Les années 1900-1910 marquent le début de l’intérêt des collectionneurs suisses pour la « nouvelle peinture » française. Le tableau est vendu au musée genevois par Adolphe Creux, collectionneur et marchand d’art vivant à Lausanne. Les procès-verbaux de la Commission des beaux-arts soulignent l’intérêt qu’a le Musée d’art et d’histoire de Genève d’acheter cette toile : dans sa séance du 2 juin 1912, elle considère que cette acquisition lui permettra de commencer à présenter « l’évolution de la peinture contemporaine ».